La transformation par la « cross-fertilisation » chez Kering
Pour l’instant l’approche de Kering reste surtout top-down. L’objectif actuel est de sensibiliser l’ensemble des collaborateurs du groupe sur les enjeux du numérique.
Vous trouverez dans cette catégorie les vidéos des interventions de nos invités lors des rencontres et ateliers de l’Observatoire.
Pour l’instant l’approche de Kering reste surtout top-down. L’objectif actuel est de sensibiliser l’ensemble des collaborateurs du groupe sur les enjeux du numérique.
L’approche du gouvernement et du Ministère des Affaires Etrangères en particulier peut être qualifiée de « numérique par défaut ». Notre enjeu est de définir comment nous pouvons rester légitime au XXIe siècle. Pourquoi digitaliser ? […]
La transformation digitale c’est repenser complètement nos métiers : ce n’est pas seulement une mise à niveau des outils c’est repenser la manière de gérer, de travailler en équipe(s), la façon dont on va travailler avec nos clients et répondre à leurs attentes. […]
Le fondement du droit du travail classique c’est la subordination. Tout repose sur « l’autorité qui tombe d’en-haut », le management « à la petit chef ». Il existe donc aujourd’hui un décalage réel entre les règles actuelles du droit du travail et la réalité du terrain. Le « co-co » (collaboration, coworking, co-construction, etc.) est à l’opposé[…]
Voici quelques questions sur lesquelles nous vous proposons d’échanger au sein de l’Observatoire des Réseaux Sociaux d’Entreprise. – N’est-il pas nécessaire de développer la marque, pas seulement auprès de ceux que nous souhaitons recruter, mais auprès de tous ? – Ne fait-il pas cibler plus particulièrement certains profils ? par exemple, les talents issus de[…]
Selon Frédérik Poquet, Directeur de Projet RH et Transformation Digitale chez BNP Paribas, tout est basé sur une relation de confiance entre l’entreprise et son employé ; si un employé se retrouve dans les valeurs que porte son entreprise, il aura tendance à être plus engagé. […]
Une conviction très profonde chez Orange, c’est que, au travers de la marque employeur/ marque employé, chacun d’entre nous a une expérience unique, que ce soit en tant que futur candidat, futur salarié, ou salarié à l’intérieur de l’entreprise.
Une obligation en interne : en complément des process, il faut permettre à chaque salarié de pouvoir exprimer quelles sont ses compétences, sur quel type de métier il souhaite aller : Il s’agit de susciter le volontariat pour pouvoir rapidement être présent sur les métiers dont les clients auront besoin dans les années à venir.
Une définition ..
La « marque employeur, marque employé » dans nos organisations, ce sont toutes les actions, les moyens qui concourent à renforcer l’image de l’entreprise en tant qu’employeur, on l’appelle « promesse employeur » dans certains cas ; et cela, aussi bien sur la question de l’attractivité, – on parlera de marque employeur « externe » – que sur les enjeux internes, tels que l’intégration, la fidélisation, et je rajouterai un quatrième élément, le maintien du niveau d’engagement des salariés. C’est un continuum, on pourrait reparler de « fertilisation croisée ». […]
« Au sein de BNP Paribas, c’est l’entité « Investissement et Financement » qui s’est équipée d’un réseau social interne. Celui-ci a ensuite été dupliqué à d’autres métiers de l’entreprise. Notre objectif est de préserver cette liberté en facilitant l’accès à ces Réseaux Sociaux. Et dans ces outils, les règles du secret professionnel demeurent, comme dans tout autre mode d’expression. » […]